Le mardi 12 novembre, à 19 h 30, à la librairie Les Rebelles Ordinaires, rue des Trois Fuseaux, café-Diplo autour de l'article de Jean-Baptiste Malet «La fin du monde n'aura pas lieu», publié dans Le Monde diplomatique de août 2019.
Agit-on mieux le dos au mur, quand il n'y a plus d'échappatoire, quand tout bascule ? C'est la thèse défendue par certains courants écologistes : l'humanité aurait détruit son environnement au point de provoquer l'effondrement imminent de la biosphère. Il s'agirait dès lors de se préparer matériellement et spirituellement à vivre dans le monde d'après. Catastrophisme éclairé ou grande peur obscurantiste ?